Voici un poème envoyé par un de nos lecteurs à l’occasion de la fête des mères pour sa mère et pour aussi rendre hommage à toutes ces braves femmes oubliées. Ce poème est dédiée à toutes les femmes, ces femmes que souvent l’on ignore mais qui portent en elles la semence de vie et qui travaillent avec abnégation pour nous nourrir! A travers ces quelques lignes, nous saluon toutes les mères du monde entier qui souffrent pour nous et qui portent sur leurs frêles épaules les souffrances du monde.

Arrêtons-nous un instant et célébrons-les pour leur œuvre géniale!

La mère

Je contemple la grandeur, aussi haute qu’une montagne,

De cette femme vêtue d’un magnifique pagne.

Elle apaise mon coeur comme la campagne.

M’enivre de bonheur comme le champagne.

Elle est ma éternelle compagne.

M’accompagne dans mes tremblements de coeur et vagues à l’âme

Cette dame est non pas ma soeur de sang ni ma soeur d’âme,

Mais la mère. Celle qui porte, borde, nourrit et lave.

Nettoie les blessures et éteint les brûlures: du corps, du coeur.

Efface nos erreurs, s’abreuve des rivières de nos pleurs.

Dans le besoin de paix, elle nous calme.

Dans l’envie de voyage, elle nous fait prendre le large.

Dans les moments de vérités, elle reflète notre vrai visage.

Enfuie au plus profond d’elle nos confidences les plus intimes.

Arrose d’amour les racines de notre jardin secret, enlève les ronces et les épines.

Abaissé à ses pieds, je lui adresse ces versets.

Les yeux rivés vers les cieux,

Je me prosterne, à genous, comme pour Dieu.

Paulo Negriot

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